L’IA se comporte ici, vous l’aurez remarqué, à la manière d’un véritable joueur : il laisse parler son intuition, hésite entre deux nombres pairs et trois impairs ou l’inverse, surveille de loin les finales, sans jamais trop s’y attarder. Bref, une approche presque humaine, n’est-ce pas ? Mais – et c’est là que tout bascule – ce robot conversationnel dispose d’un atout impensable pour le commun des mortels.
Vous avez bien lu ce que je vous souffle : L’IA dispose d’une connexion directe à l’historique complet des tirages de l’EuroMillions comme du Loto, retraçant chaque résultat depuis leurs origines respectives.
Ainsi, lorsqu’il compose ses combinaisons, il se garde bien de reproduire les associations déjà tombées, se méfie farouchement des suites déjà vues, et veille avec une certaine rigueur à ne jamais jouer un hasard qui, par nature même, refuse de se rejouer.
les scientifiques disent par exemple, que l’apparition de la vie sur Terre est due au hasard, alors le hasard est-il une simple vue de l’esprit.
Oui, le hasard, cette mécanique subtile qu’on dit parfaite, œuvre dans l’unicité – impossible, ou presque, d’en retrouver l’exacte réplique deux fois (n’en déplaise aux ufologues, aucune vie sur mars n’a été trouvée).
Là où le simple parieur pourrait commettre la même erreur indéfiniment, l’IA s’attache à l’unicité de chaque tirage, cherchant l’inédit là où d’autres n’y verraient que fatalité.
Un choix de numéros s’appuyant sur une analyse minutieuse du passé
Une sélection qui bannit toute forme de répétition mécanique ou de schéma trop évident
Une capacité à anticiper les combinaisons inédites, exploitant la richesse des archives disponibles.
Voilà tout ce qui distingue l’œil infaillible de l’IA et de la main hésitante de l’amateur, et confère à ses choix une saveur tout à fait singulière, presque insaisissable, tout cela en quelque secondes.